Au cours de la dernière année, la Banque mondiale est devenue un chef de file de la transparence, selon le classement de la publication basée au Royaume-Uni ‘Publish What You Fund (Publiez ce que vous financez) – La campagne mondiale de transparence pour l'aide au développement’.
L'utilisation des données triplé: la Banque mondiale a publié des données supplémentaires, des outils communs de visualisation de données avec les pays, mis au point une cartographie pour l'application des résultats, développé quatre applications pour l'iPhone, ainsi qu’un nouvel outil pour le suivi des flux d'aide.
«Les données ouvertes consistent vraiment en un changement – il s’agit d’un programme de transformation - pour nous tous», a déclaré Shaida Badiee, directrice du Groupe des données de développement de la Banque mondiale. «C'est une nouvelle façon de faire des affaires, et pour réussir il faut vraiment travailler ensemble. Nous avons vu que l'impact des données ouvertes est extrêmement élevé et important pour résoudre les problèmes de développement.»
Le Groupe des données de développement maintient les principales bases de données économiques et sociales de la Banque mondiale et publie chaque année le World Development Indicators, le World Atlas de la Banque, et le Global Development Finance.
Shaida Badiee travaille en étroite collaboration avec les organismes partenaires clés sur le relèvement du profil des meilleures statistiques pour la gestion des résultats de développement, l'harmonisation des travaux statistiques, et de soutien pour le renforcement des capacités aux pays en développement.
Blogue de Lyne Robichaud
25 avril 2011
La Suède lance le site de données ouvertes OpenAid.se pour lutter contre la corruption
La Suède a lancé le 4 avril 2011 un site Internet permettant aux contribuables de suivre le financement public de projets d'aide au développement dans le but de lutter contre la corruption.
Gunilla Carlsson, ministre suédoise de la Coopération internationale, a indiqué que ce site vise également à promouvoir la «transparence» et «idées nouvelles» dans les programmes d'aide au développement.
Le site OpenAid.se vise à offrir des réponses à des questions telles que: quelle est l'aide au développement étranger utilisée? Qui met en œuvre des projets d'aide au développement?
La ministre a indiqué que ce projet a rencontré des difficultés, notamment la collecte de données à partir de nombreuses agences gouvernementales ainsi que la numérisation de milliers de pages de documents.
Seule une femme politicienne aurait pu faire une pareille comparaison, les hommes ne s'expriment pas ainsi: «Vous avez de la transparence ou vous n’en avez pas», a déclaré la ministre Gunilla Carlsson, lors d’une assemblée de la Banque mondiale et du Fonds monétaire international portant sur les données ouvertes ayant eu lieu ce printemps. «C'est comme être à moitié enceinte. Vous ne pouvez pas être à moitié enceinte. Ceci (la transparence) est quelque chose que devons mettre en place.»
Gunilla Carlsson, ministre suédoise de la Coopération internationale, a indiqué que ce site vise également à promouvoir la «transparence» et «idées nouvelles» dans les programmes d'aide au développement.
Le site OpenAid.se vise à offrir des réponses à des questions telles que: quelle est l'aide au développement étranger utilisée? Qui met en œuvre des projets d'aide au développement?
La ministre a indiqué que ce projet a rencontré des difficultés, notamment la collecte de données à partir de nombreuses agences gouvernementales ainsi que la numérisation de milliers de pages de documents.
Seule une femme politicienne aurait pu faire une pareille comparaison, les hommes ne s'expriment pas ainsi: «Vous avez de la transparence ou vous n’en avez pas», a déclaré la ministre Gunilla Carlsson, lors d’une assemblée de la Banque mondiale et du Fonds monétaire international portant sur les données ouvertes ayant eu lieu ce printemps. «C'est comme être à moitié enceinte. Vous ne pouvez pas être à moitié enceinte. Ceci (la transparence) est quelque chose que devons mettre en place.»
Données ouvertes en Italie: a) OpenSpending; b) disparus d'Argentine
L'économiste et blogueur Alberto Cottica a annoncé avec beaucoup d'émoi dans les pages de Government in the Lab, le 23 avril dernier, le lancement de OpenSpending Italy - la première contribution italienne à la plate-forme OpenSpending. Ce lancement a eu lieu le 21 avril 2011.
Alberto Cottica a indiqué qu'un pas en avant a été franchi en matière d'accessibilité aux données.
Il conclut dans son billet intitulé "Against all odds: open data in Italy make a breakthrough" (Contre toute attente: les données ouvertes en Italie font une percée), par ces paroles d'espoir: «Ensemble, fonctionnaires, geeks et simples curieux - des gens engagés -, nous démontrons que nous pouvons réaliser un changement pour le meilleur ici et maintenant, avec les ressources et les compétences disponibles, sans avoir à attendre un changement global ou une singularité culturelle. Puisse cette attitude se propager ailleurs dans la sphère publique. Dieu sait que nous en avons besoin.»
Je vous invite à lire son billet au complet.
Par ailleurs, bien qu'il ne s'agisse pas de libération de données en lien avec une plate-forme particulière, l'Italie a effectué une autre annonce ce mois-ci, concernant l'accès à des archives. Il s'agit quand même d'une sorte d'ouverture de données gouvernementales, dont le but est le partage et l'entraide, qui soulageront le deuil de dizaine de milliers de familles et de citoyens.
Le ministre italien des Affaires étrangères, Franco Frattini, a annoncé le 2 avril 2011 que l'Italie ouvrira les archives de ses consultats en Argentine pour aider à la recherche des quelque 30,000 personnes disparues sous la dernière dictature (1976-1983).
«Au cours de la visite de la présidente (Cristina) Kirchner en Italie en juin, nous signerons un accord pour l'ouverture des archives des consulats en Argentine afin de collaborer à la recherche des disparus», a déclaré Frattini. «Toutes les données seront disponibles», a-t-il indiqué.
L'article du Figaro ne précise pas sous quel format.
Alberto Cottica a indiqué qu'un pas en avant a été franchi en matière d'accessibilité aux données.
Il conclut dans son billet intitulé "Against all odds: open data in Italy make a breakthrough" (Contre toute attente: les données ouvertes en Italie font une percée), par ces paroles d'espoir: «Ensemble, fonctionnaires, geeks et simples curieux - des gens engagés -, nous démontrons que nous pouvons réaliser un changement pour le meilleur ici et maintenant, avec les ressources et les compétences disponibles, sans avoir à attendre un changement global ou une singularité culturelle. Puisse cette attitude se propager ailleurs dans la sphère publique. Dieu sait que nous en avons besoin.»
Je vous invite à lire son billet au complet.
Par ailleurs, bien qu'il ne s'agisse pas de libération de données en lien avec une plate-forme particulière, l'Italie a effectué une autre annonce ce mois-ci, concernant l'accès à des archives. Il s'agit quand même d'une sorte d'ouverture de données gouvernementales, dont le but est le partage et l'entraide, qui soulageront le deuil de dizaine de milliers de familles et de citoyens.
Le ministre italien des Affaires étrangères, Franco Frattini, a annoncé le 2 avril 2011 que l'Italie ouvrira les archives de ses consultats en Argentine pour aider à la recherche des quelque 30,000 personnes disparues sous la dernière dictature (1976-1983).
«Au cours de la visite de la présidente (Cristina) Kirchner en Italie en juin, nous signerons un accord pour l'ouverture des archives des consulats en Argentine afin de collaborer à la recherche des disparus», a déclaré Frattini. «Toutes les données seront disponibles», a-t-il indiqué.
L'article du Figaro ne précise pas sous quel format.
An open letter enjoining Toulouse to launch an open data initiative
The open data movement is growing in France.
Several communities initiated steps to release open data. Last year, Rennes was one of the first cities to establish such a project, starting with a small set of data. Recently, the City of Rennes opened its budget data. New sets of data released on April 5, 2011 differ from the rest of the data because they contain the Town Hall budget. Take a look at the data catalog.
Cities of Paris and Nantes are progressing in their open data projects. I was told that the City of Nantes was planning this month to add a "social" component (that is to say, involve participation and cooperation of citizens, which corresponds to an open government model).
A group of citizens from the region of Toulouse, inspired by LiberTIC (Nantes association whose mission is to promote open data and accompany the territory of Nantes in the development and use of digital applications of public utility), sent an open letter to the President of Grand Toulouse, Pierre Cohen, "enjoining him to promote open data in the urban community of the Greater Toulouse."
The authors of the letter put forward two arguments: the technological innovation on one hand, and citizen participation on the other hand, "as an important factor of social and economic innovation. The availability of such information leads to greater participation in public decision making and enriches the relationship between citizens and their representatives", wrote these open data advocates.
This open letter has many signatories, most of whom reside in Toulouse.
See the open letter.
*************************************
Une lettre ouverte enjoignant Toulouse d'emboîter le pas des données ouvertes
Le mouvement des données ouvertes est en progression en France.
Les villes de Paris et Nantes cheminent dans leurs projets. On m'a informée que la ville de Nantes envisageait ce mois-ci d'ajouter un volet «social» (c'est-à-dire impliquer la participation et la collaboration des citoyens, ce qui correspondrait au modèle de gouvernement ouvert).
Plusieurs collectivités ont lancé des démarches de libération des données. Rennes fut une des premières villes à mettre sur pied une initiative l'an dernier, en débutant par un petit ensemble de données. Dernièrement, cette municipalité a ouvert ses données budgétaires. De nouveaux ensembles de données rendus publics le 5 avril 2011, se distinguent des autres données puisqu'ils contiennent le budget de la mairie. Jetez un coup d'œil au catalogue de données.
Un collectif de la région de Toulouse, inspiré par LiberTIC (association nantaise ayant pour mission de promouvoir l’ouverture des données publiques et d’accompagner le territoire de Nantes dans le développement et l’utilisation d’applications numériques d’utilité publique), a adressé une lettre ouverte au président du Grand Toulouse, Pierre Cohen, pour « l’enjoindre à promouvoir les données ouvertes dans la communauté urbaine du Grand Toulouse».
Les auteurs de la lettre ouverte invoquent deux argumentaires: l’innovation technologique d’une part et la participation citoyenne d'autre part, «comme un important facteur d’innovation sociale et économique. La disponibilité de telles informations incite à une plus forte participation à la décision publique et enrichit les liens entre les citoyens et leurs représentants», ont indiqué ces défenseurs des données gouvernementales ouvertes.
Nombreux sont les signataires de cette lettre ouverte, dont la majorité résident à Toulouse.
Consultez cette lettre ouverte.
Several communities initiated steps to release open data. Last year, Rennes was one of the first cities to establish such a project, starting with a small set of data. Recently, the City of Rennes opened its budget data. New sets of data released on April 5, 2011 differ from the rest of the data because they contain the Town Hall budget. Take a look at the data catalog.
Cities of Paris and Nantes are progressing in their open data projects. I was told that the City of Nantes was planning this month to add a "social" component (that is to say, involve participation and cooperation of citizens, which corresponds to an open government model).
A group of citizens from the region of Toulouse, inspired by LiberTIC (Nantes association whose mission is to promote open data and accompany the territory of Nantes in the development and use of digital applications of public utility), sent an open letter to the President of Grand Toulouse, Pierre Cohen, "enjoining him to promote open data in the urban community of the Greater Toulouse."
The authors of the letter put forward two arguments: the technological innovation on one hand, and citizen participation on the other hand, "as an important factor of social and economic innovation. The availability of such information leads to greater participation in public decision making and enriches the relationship between citizens and their representatives", wrote these open data advocates.
This open letter has many signatories, most of whom reside in Toulouse.
See the open letter.
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Une lettre ouverte enjoignant Toulouse d'emboîter le pas des données ouvertes
Le mouvement des données ouvertes est en progression en France.
Les villes de Paris et Nantes cheminent dans leurs projets. On m'a informée que la ville de Nantes envisageait ce mois-ci d'ajouter un volet «social» (c'est-à-dire impliquer la participation et la collaboration des citoyens, ce qui correspondrait au modèle de gouvernement ouvert).
Plusieurs collectivités ont lancé des démarches de libération des données. Rennes fut une des premières villes à mettre sur pied une initiative l'an dernier, en débutant par un petit ensemble de données. Dernièrement, cette municipalité a ouvert ses données budgétaires. De nouveaux ensembles de données rendus publics le 5 avril 2011, se distinguent des autres données puisqu'ils contiennent le budget de la mairie. Jetez un coup d'œil au catalogue de données.
Un collectif de la région de Toulouse, inspiré par LiberTIC (association nantaise ayant pour mission de promouvoir l’ouverture des données publiques et d’accompagner le territoire de Nantes dans le développement et l’utilisation d’applications numériques d’utilité publique), a adressé une lettre ouverte au président du Grand Toulouse, Pierre Cohen, pour « l’enjoindre à promouvoir les données ouvertes dans la communauté urbaine du Grand Toulouse».
Les auteurs de la lettre ouverte invoquent deux argumentaires: l’innovation technologique d’une part et la participation citoyenne d'autre part, «comme un important facteur d’innovation sociale et économique. La disponibilité de telles informations incite à une plus forte participation à la décision publique et enrichit les liens entre les citoyens et leurs représentants», ont indiqué ces défenseurs des données gouvernementales ouvertes.
Nombreux sont les signataires de cette lettre ouverte, dont la majorité résident à Toulouse.
Consultez cette lettre ouverte.
An astronaut understands how 2.0 tools can solve global problems
The 6th astronaut to walk on the moon, Apollo 14 astronaut Dr. Edgar Mitchell, and founder of IONS (the Institute of Noetic sciences) following that lunar mission, believes that “Conflict among people and nations, including current hostilities in the Mideast, can find resolution from insights in consciousness science and education initiatives“.
Silence and emptiness of space probably allowed Dr. Edgar Mitchell to achieve a higher level of consciousness. For 38 years, his Institute’s primary program areas are consciousness and healing, extended human capacities, and emerging worldviews. “Noetic“ comes from the Greek word nous, which means “intuitive mind” or “inner knowing.” IONS conducts, sponsors, and collaborates on leading-edge research into the potentials and powers of consciousness.
IONS announced more than 30 high-impact talks by 40 global visionaries at the international Noetic 2.0: Tools and Technologies for a World Transforming, July 20 - 24, 2011. (Registration form)
Dr. Deepak Chopra is one of the 40 guest speakers. His presentation will focus on the “social subconscious, having the potential to create a new idea of being“.
2.0 tools and technologies proposed by the Institute of Noetic sciences do not differ from the 2.0 tools and technologies used by the government 2.0, or open government. These are the same tools and technologies. These are also the same users - human beings. When government officials will understand the nature of human beings, and the power of consciousness, they will be able to consciously manage the collective consciousness. At this point, it will become possible for them to invite citizens from around the world to collaborate to solve global problems.
*******************
Un astronaute comprend comment des outils 2.0 peuvent solutionner des problèmes mondiaux
Le sixième astronaute à marcher sur la lune, l’astronaute de Apollo 14 Dr Edgar Mitchell, et fondateur de IONS (the Institute of Noetic Sciences) après cette mission lunaire, estime que «les conflits entre les peuples et les nations, y compris les hostilités en cours au Moyen-Orient, peuvent être résolus par la connaissance de la science de la conscience et des initiatives d'éducation».
Le silence et le vide de l’espace ont sans doute permis au Dr Edgar Mitchell d’atteindre un niveau de conscience plus élevé, car depuis 38 ans, la mission principale de son Institut se consacre à la conscience et la guérison, l’étendue les capacités humaines, et les visions nouvelles.
«Noétique» (noetic) vient du mot grec UNO, qui signifie «esprit de finesse»ou «connaissance intérieure». IONS dirige, commandite, et collabore à la recherche de pointe sur les potentiels et les pouvoirs de la conscience.
IONS a annoncé plus de 30 conférences de haut calibre par 40 visionnaires à l'échelle internationale. Noetic 2.0: Outils et technologies pour un monde en transformation, aura lieu du 20 au 24 juillet 2011, en Californie. (Formulaire d'inscription)
Le Dr Deepak Chopra fait partie des 40 conférenciers invités. Sa présentation portera sur «l’inconscient social, qui a le potentiel pour créer une nouvelle idée de l'être» (humain).
Les outils et technologies 2.0 proposés par l’Institut de la noétique se diffèrent pas des outils et technologies utilisés par le gouvernement 2.0, ou gouvernement ouvert. Ce sont les mêmes outils et technologies. Les mêmes utilisateurs, des êtres humains. Lorsque les gestionnaires gouvernementaux comprendront la nature de l’humain, et le pouvoir de la conscience, ils seront en mesure de gérer consciemment la conscience collective, et pourront inviter les citoyens à collaborer pour résoudre des problématiques mondiales.
Silence and emptiness of space probably allowed Dr. Edgar Mitchell to achieve a higher level of consciousness. For 38 years, his Institute’s primary program areas are consciousness and healing, extended human capacities, and emerging worldviews. “Noetic“ comes from the Greek word nous, which means “intuitive mind” or “inner knowing.” IONS conducts, sponsors, and collaborates on leading-edge research into the potentials and powers of consciousness.
IONS announced more than 30 high-impact talks by 40 global visionaries at the international Noetic 2.0: Tools and Technologies for a World Transforming, July 20 - 24, 2011. (Registration form)
Dr. Deepak Chopra is one of the 40 guest speakers. His presentation will focus on the “social subconscious, having the potential to create a new idea of being“.
2.0 tools and technologies proposed by the Institute of Noetic sciences do not differ from the 2.0 tools and technologies used by the government 2.0, or open government. These are the same tools and technologies. These are also the same users - human beings. When government officials will understand the nature of human beings, and the power of consciousness, they will be able to consciously manage the collective consciousness. At this point, it will become possible for them to invite citizens from around the world to collaborate to solve global problems.
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Un astronaute comprend comment des outils 2.0 peuvent solutionner des problèmes mondiaux
Le sixième astronaute à marcher sur la lune, l’astronaute de Apollo 14 Dr Edgar Mitchell, et fondateur de IONS (the Institute of Noetic Sciences) après cette mission lunaire, estime que «les conflits entre les peuples et les nations, y compris les hostilités en cours au Moyen-Orient, peuvent être résolus par la connaissance de la science de la conscience et des initiatives d'éducation».
Le silence et le vide de l’espace ont sans doute permis au Dr Edgar Mitchell d’atteindre un niveau de conscience plus élevé, car depuis 38 ans, la mission principale de son Institut se consacre à la conscience et la guérison, l’étendue les capacités humaines, et les visions nouvelles.
«Noétique» (noetic) vient du mot grec UNO, qui signifie «esprit de finesse»ou «connaissance intérieure». IONS dirige, commandite, et collabore à la recherche de pointe sur les potentiels et les pouvoirs de la conscience.
IONS a annoncé plus de 30 conférences de haut calibre par 40 visionnaires à l'échelle internationale. Noetic 2.0: Outils et technologies pour un monde en transformation, aura lieu du 20 au 24 juillet 2011, en Californie. (Formulaire d'inscription)
Le Dr Deepak Chopra fait partie des 40 conférenciers invités. Sa présentation portera sur «l’inconscient social, qui a le potentiel pour créer une nouvelle idée de l'être» (humain).
Les outils et technologies 2.0 proposés par l’Institut de la noétique se diffèrent pas des outils et technologies utilisés par le gouvernement 2.0, ou gouvernement ouvert. Ce sont les mêmes outils et technologies. Les mêmes utilisateurs, des êtres humains. Lorsque les gestionnaires gouvernementaux comprendront la nature de l’humain, et le pouvoir de la conscience, ils seront en mesure de gérer consciemment la conscience collective, et pourront inviter les citoyens à collaborer pour résoudre des problématiques mondiales.
17 avril 2011
Robert Zoellick in favor of 'new social contract'
"We need a new social contract where governments listen to their people and include them in their development process," said World Bank President Robert Zoellick.
"Il nous faut un nouveau contrat social où les gouvernements écoutent leurs peuples et de incluent dans leur processus de développement", a déclaré le président de la Banque mondiale, Robert Zoellick.
Il faut implanter des gouvernements ouverts partout sur la planète. Nous sommes arrivés au moment propice pour en parler, et pour les implanter.
(Je n'ai pas le goût d'écrire ces temps-ci. Désolée.)
"Il nous faut un nouveau contrat social où les gouvernements écoutent leurs peuples et de incluent dans leur processus de développement", a déclaré le président de la Banque mondiale, Robert Zoellick.
Il faut implanter des gouvernements ouverts partout sur la planète. Nous sommes arrivés au moment propice pour en parler, et pour les implanter.
(Je n'ai pas le goût d'écrire ces temps-ci. Désolée.)
08 avril 2011
A notch further
I have to confess I had tears of joy, I cried when I opened the link http://openideo.com. I have been hoping for such a project for a while.
I believe it is the right path, it is what our world needs to solve major global issues.
The right formula, the (technical) solution seems to have been found.
What is missing now – rather non-technical – is a critical mass of people who will think about these issues. [And I insist on the word ‘think’ VS ‘write’, or ‘click’, or ‘comment’, or use a platform. Just thinking would be enough.]
A critical mass has to be cultivated.
It can be achieved by training government officials first.
When government leaders from around the world will learn
how the human mind works and what it does,
When they will make a link between the rise of social media,
open government platforms and the power of collective consciousness,
When government leaders will understand
what is the nature of collective consciousness,
When they will learn how to manage with consciousness the collective consciousness,
When they will unite their voices (it could be a few spokesmen) and repeat in every way possible the same message – ‘We need your help’, ‘We ask for your collaboration’, ‘This month, we want to focus on this problem, please give us a hand’.
When this will happen, we will see a transformation.
A shift in collective consciousness will occur, and problems will get solved.
In the meantime, more countries have to implement open government initiatives, so that more citizens from around the world can take the habit of participating in collective projects.
(Open government) business models are popular. They sell well to government officials. They fit well in budgets.
However, I believe the ultimate use of open government innovative tools is tapping into the wisdom of crowds (the collective consciousness) to find solutions.
Nobody barely ever talks about these things. Yet these things are the very essence of what we are.
I did not expect to see emerge a site as http://openideo.com so soon. I thought it would occur in a few years.
In recent months we have seen examples of what social media can do for nations under the yoke of an autocratic government. Several government officials are beginning to realize what social media can do. For example, the deputy mayor of Nantes Jean-Marc Ayrault (ref. this video interview by Simon Robic) said that recent global events had made him understand the importance of social issues. This led him to launch an open data initiative.
We should go a notch further, and teach to government officials how to use the wisdom of crowds.
I believe it is the right path, it is what our world needs to solve major global issues.
The right formula, the (technical) solution seems to have been found.
What is missing now – rather non-technical – is a critical mass of people who will think about these issues. [And I insist on the word ‘think’ VS ‘write’, or ‘click’, or ‘comment’, or use a platform. Just thinking would be enough.]
A critical mass has to be cultivated.
It can be achieved by training government officials first.
When government leaders from around the world will learn
how the human mind works and what it does,
When they will make a link between the rise of social media,
open government platforms and the power of collective consciousness,
When government leaders will understand
what is the nature of collective consciousness,
When they will learn how to manage with consciousness the collective consciousness,
When they will unite their voices (it could be a few spokesmen) and repeat in every way possible the same message – ‘We need your help’, ‘We ask for your collaboration’, ‘This month, we want to focus on this problem, please give us a hand’.
When this will happen, we will see a transformation.
A shift in collective consciousness will occur, and problems will get solved.
In the meantime, more countries have to implement open government initiatives, so that more citizens from around the world can take the habit of participating in collective projects.
(Open government) business models are popular. They sell well to government officials. They fit well in budgets.
However, I believe the ultimate use of open government innovative tools is tapping into the wisdom of crowds (the collective consciousness) to find solutions.
Nobody barely ever talks about these things. Yet these things are the very essence of what we are.
I did not expect to see emerge a site as http://openideo.com so soon. I thought it would occur in a few years.
In recent months we have seen examples of what social media can do for nations under the yoke of an autocratic government. Several government officials are beginning to realize what social media can do. For example, the deputy mayor of Nantes Jean-Marc Ayrault (ref. this video interview by Simon Robic) said that recent global events had made him understand the importance of social issues. This led him to launch an open data initiative.
We should go a notch further, and teach to government officials how to use the wisdom of crowds.
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